Constance arrive pour dîner

Sans dire un mot, ils n'en avaient pas besoin et à l'inverse de Constance, il n'était pas un grand bavard, il la serra contre lui, intensifiant le baiser tandis que ses mains parcourant délicatement son dos, ses doigts brûlant au doux contact de sa peau. Il passa ses bras derrière la jeune femme et l'éleva, la prenant dans sesbras, sans cesser de l'embrasser afin de la retirer de cette saleté de chaise.

"Là-haut, c'est plus confortable..." murmura-t-il.

La tenant toujours contre lui, l'embrassant, il monta précautionneusement les marches de l'escalier. Pour plus de sécurité, interrompit momentanément leur étreinte pour éviter de se ramasser dans les escaliers et arrivé en haut, la pausa délicatemnt sur le lit,se mettant au dessus d'elle, l'embrassant dans le cou.

"Un seul dessert, ce n'est jamais suffisant..."

Constance se laissa âper par les bras de Paul et décolla de sa chaise, se serrant contre lui tout en l'embrassant et entourant sa taille de ses jambes et son cou de ses bras.

Elle était bien, là, haut perchée, à la même hauteur de son petit-ami.

Paul la monta dans sa chambre qu'elle connaissait déjà et elle se laissa tomber délicatement sur le lit, ne lache prise à aucun moment. Les baisers de Paul dans son cou la rendaient folle, elle adorait ça et ça lui procurait des frissons accompagnés d'un certain plaisir.

Elle sourit quand Paul dit qu'un seul dessert n'était jamais suffisant et répondit, une flamme dansante au fond de ses yeux
"Surtout que ça, c'est mon dessert préféré..."
Constance sourit une dernière fois prit Paul par l'encolure pour le ramener vers elle, voulant goûter à nouveau à ses baisers si parfaits. Son coeur s'emballa et elle fit glisser ses mains sous la chemise de Paul, caressant sa peau avec ses doigts délicats.

Elle lui hôta sa chemise qu'elle déboutonna avec beaucoup de facilité et fit glisser ses mains un peu plus bas...

Leurs deux corps ne firent bientôt plus qu'un et Constance était tout simplement heureuse.

(...)

Paul se laissa retomber sur le côté, expirant de bonheur, appréciant la chaleur de Constance à ses côtés, peau contre peau, son parfum ennivrant flottant dans l'air. Il fera les yeux un instant pour redescendre sur Terre et tourna légèrement la tête vers la jeune femme observant la perfection de son visage dans le noir. Il rapprocha sa main de sa joue et la caressa tendrement, s'émerveillant de la voir ici et maintenant à ses côtés.

"Tu es vraiment magnifique..." ne put-il s'empêcher de déclarer à Constance.

Il se redressa légèrement, s'appuyant sur son coude, ayant retrouver toutes ses forces, et lui demanda:

"Tu veux regarder quelque chose à la télé? Ou dormir tout simplement?"

Il laissa ses doigts errer sur son vontre, dessinant des cercles concentriques autour de son nombril.

(...)

Constance était sur son petit nuage, comme dans une autre dimension.Tout autour d'elle avait une saveur différente quand elle était dans cet état là. Tout avait l'air parfait.
Elle tourna son visage vers Loman qui venait de se mettre à côté. Elle lui sourit quand il avoua qu'il la trouvait magnifique. Elle s'avança vers lui et l'embrassa.
"... et toi le plus doué de tous les amants..." Ses joues rosirent légèrement et elle se blottit contre Paul.

Les caresses de Paul vers son nombril lui faisait des chatouilles et elle commença à gigotter et elle se résolut à prendre la main de Paul et d'y entrelacer ses doigts pour terminer ce supplice.
"Je n'ai pas sommeil, et toi ?" demanda-t-elle d'une voix douce et appaisée. Les bras de Paul était vraiment le plus merveilleux des endroits sur Terre.

Paul pencha légèrement la tête de côté, observant leurs doigts s'entrelacer, et il rit doucement lorsqu'elle déclara qu'il était le plus doué dans sa catégorie. Il l'embrassa sur le bot du nez et répliqua:

"Tu t'attendez à quoi? Pas moins que ça j'espère?"

Il rit doucement et l'embrassa rapidement sur le ventre avant de passer le bras par dessus elle pour prendre la télécommande qui reposait sur la table de cheve du côté de Constance. Il alluma la télévision en bruit sonore et se posa sur le tournoi de poker. C'était la finale. Jetant un rapide coup d'oeil dessus, il retourna son visage vers la jeune femme et l'observa, lui caressant les cheveux.

"J'aime bien regarder ça à la télévision. J'enregistre même quand je vais rater. Les coups de bluff, rien de tel."

Constance rigola doucement et répondit en passant sa main sur la joue de Paul
"Je ne m'attendais à rien du tout... Je prends ce qui vient et j'adoooooore ce qui vient..."
Elle l'embrassa furtivement avant qu'il ne descende ses lèvres sur son ventre où il l'embrassa, ce qui donna à Constance quelques frissons.

Il alluma la télé et Constance fit la grimace. Elle répondit à Paul
"Beuuurk, je déteste le poker. J'y comprends rien et je trouve ça ennuyant à mourir..."

Elle vint se blottir contre Paul, elle ne prêta pas attention au téléviseur et elle regarda Paul, l'observant dans tous ses détails...

Mais qu'il est beau...

Paul soupira lorsqu'elle déclara détester le poker:

"Rha mais rien ne vaut un bon vieux Texas hold'em. C'est super interressant de voir toute la psychologie etla force mentale de chacun des adversaires."

Il se retourna vers elle, écartant un peu son visage pourbien la voir et poursuivit avec une note de fierté dns la voix:

"J'ai été le champion de la fac durant 2 années d'affilée tu sais? C'est pratique, pas la peine d'avoir une quelconque habileté physique pour gagner. Ca m'a permit de ratatiner ceux qui au lycée avaient dait de ma vie un enfer. Comme on disait toujours, la fac est la revanche des intellos sur leurs bourreaux."

Il se retourna ensuite vers la télé à nouveau et observa le coup de bluff en train de s'opérer, impressionné par tant de finesse et de maîtrise de soi.

[c'est Nep qui aime le poker ou c'est Paul ? Ou les deux ? lol]

Constance soupira et répondit poliment
"Si tu le dis..." Elle détestait vraiment ça. Et elle ne se sentait pas capable un jour de jouer au poker, c'était une piètre menteuse alors le bluff, c'était pas pour elle.

Puis elle éclata de rire quand Paul lui raconta ses malheures du lycée et ses vengeances de fac. Elle aimait bien quand il parlair de lui.
"Mon pauvre chéri... ils ont été méchants avec toi au lycée !!! Les vilains !" elle rigola et reprit "Mais tant mieux si tu t'es vengé. Et tu vois, aujourd'hui, tu t'en es bien sorti... un super boulot, une superbe petite-amie..." Constance éclata de rire et posa sa tête sur le torse de Paul, le regardant, l'oeil amusé. Elle reprit son sérieux et dit

"Je suis contente de t'avoir rencontré. Tout ça c'est nouveau pour moi. Une relation qui dure plus d'un soir... et... j'avoue que c'est très agréable..."
Constance lui sourit tendrement et avança son visage pour l'embrasser. Elle ne s'en lassait pas.

Paul se tourna vers Constance, tout sourire et vit que le poker ne l'interressait pas des masses. Plaisatant à moitié, il tenta de la motiver:

"On s'en fera un, un jour. Je t'apprendrai les règles du jeu. Enfin, on misera pas de l'argent : je suis sûre qu'un strip poker te ferait aimer ce jeu."

Il lui fit un clin d'oeil et l'embrassa sur le front lorsqu'elle commenta ses années lycée. ca n'avait pas été de tout reos mais il était heureux de s'en être plutôt bien sorti et d'avoir eu sa revanche sur Max, le beau gosse footballeur adulé du lycée. Il carressa tendrement l'épaule de Constance et répliqua:

"Oui, alors que je vis dans une magnifique maison, au bras d'une sublime petite amie, avec un compte en banque bien garni, je te parie qu'il est en train de trimer dans le garge de son père et etrouve le soir sa petite amie pom pom girl de lycée qui ressemble davantage à un cachalot après l'accouchement de leurs 6 enfants. J'ai pas à me plaindre loin de là."

Il se tourna vers Constance et l'embrassa sur le bout du nez.

"C'est de ça que je parlais tout à l'heure: c'est bizarre d'avoir une relation longue durée comme ça. Enfin j'espère que c'est une longue durée."

Il haussa un sourcil circonspect.

Constance grimaça et répondit

"Si tu veux... et l'idée du stip poker c'est surtout toi que ça arrange ! Tu vas gagner à tous les coups et je fais finir en culotte en un rien de temps alors que toi t'auras peut etre enlevé une chaussette si j'ai d'la chance..." Elle rigola légèrement et se serra un peu plus fort contre Paul.

"Oui enfin ça fait quoi... 4 jours ? Mais... c'est vrai que j'ai l'impression que ça fait plus, comme si je te connaissais déjà au fond de moi... Enfin... je m'arrête là sinon tu vas croire que je suis folle et tu vas me faire aller consulter au service psy !" Constance rigola doucement en repensant à ce qu'elle disait.

"Mais c'est clair que j'espère que ça durera longtemps... Trèèèès longtemps... Parce que je suis bien avec toi."

Paul éclata de rire lorsqu'elle mit sur le tapis qu'en réalité c'était lui que ça arrangait le strip poker.

"C'est pas faux: si je n'étais pas un gentleman, je te batterai à plat de couture. Mais tu oublies une chose très chère."

Il éteignit la télévision et se mit à 4 pattes au dessus de la jeune femme, lui caressant le visage.

"C'est que je suis un gentleman et que je te laisserai gagner." lui murmura-t-il au creux de l'oreille, l'y embrassant tendrement avant de se redresser et mimer un strip-tease en chantant, la voix rock:

"Baby
take off your coat
real slow.
Take off your shoes
I'U. take off your shoes.
Baby
take off your dress
yes
yes
yes.
You can leave your hat on -
You can leave your hat on -
You can leave your hat on."

Constance ne put s'empêcher de sourire à Paul. C'est vrai qu'il était gentleman et qu'il la laisserait sûrement gagner.
Quand il se mit à quatre pattes au dessus d'elle, elle mit ses bras autour de son torse et caressa son dos en souriant

"Faudra quand même que tu gagnes de temps en temps... c'est plus drôle si on se retrouve tous les deux en sous-vêtements..." dit elle d'un air coquin. Puis elle éclata de rire quand il commença son strip tease en chantant.

Elle adorait ça et en redemandait. Elle se mit à pousser de petits cris surexcités comme toutes ces femmes faisaient quand un chipendale était dans les parages.

Elle se mit assise et continua de contempler le spectacle que lui offrait Paul.

Quand il eut fini, elle avoua en tapotant des mains
"J'ai hâte de commencer les cours de poker !!!!"

Paul continua son petit déhanché un moment avant de se recouvi de son drap et de se laisser retomber sur la jeune femme, la recouvrant totalement. Sous la chaleur et l'obscurité des couvertures, il posa ses lèvres dans le cou de la jeune femme et murmura:

"J'ai dit gentleman pas complet bênet."

Il goûta à nouveau à la peau sucré de sa petite amie avant de retirer le drap de leur visage en prenant une profonde inspiration:

"Quelle chaleur la dessous!!"

Il posa sa tête sur sa main, observant la jeune femme dans la semi obscurité de la chambre et demanda, souhaitant connaître un peu mieux sa compagne:

"Et toi? Des passion? Mise à part moi, bien entendu..."

Constance poussa un petit cri quand il lui tomba dessus sans la heurter bien entendu. Elle commençait à étouffer mais elle était bien, là avec lui, se laissant embrasser dans le cou avec beaucoup de plaisir.

Quand Paul hôta la couverture, elle prit une grande inspiration et était complètement décoiffée.

"Tu l'as dit... On a frolé l'asphyxie !"

Constance regarda Paul et ferma les yeux un instant, cherchant quelles pouvaient bien être ses passions.

"J'adore... voyager. Tu sais, je t'avais dit que j'étais partie deux ans faire un tour du monde. C'était génial ! Sinon... j'aime... la musique -le rock surtout- et les concerts. J'ai pas vraiment de passion... à part toi bien sûr, comme tu l'as bien fait remarquer !" elle rigola et se jeta sur lui pour l'embrasser à nouveau. Elle ne pouvait se passer de lui, de sa peau, de son parfum, de ses caresses... C'était vraiment devenu une addiction.

Paul hocha la tête en l'écoutant parler de ce qu'elle aimait faire, souriant:

"Je n'ai jamais beaucoup voyagé mais j'ai toujours rêvé de le faire. On pourrait partir deux semaines en Inde pendant les vacances si ça te dit."

Il ne détacha pas son regard de la jeune femme, lui caressant tendrement les cheveux.

"Rock? Groupe ou chanteur favori? Que tu places au dessus de tout?"

Il éclata de rire lorsque ce fut au tour de la jeune femme de sauter sur lui et de l'embrasser passionément. Il répondit avec ferveur à son baiser et ses mains prcoururent sa colonne vertébrale le long de son do, murmurant sans cesser l'étreinte:

"Envie d'un autre dessert?"

Constance ouvrit de grands yeux et hurla de bonheur
"C'est VRAIIIIIIIIIIII ???? Oh ça serait génial !!!! En plus c'est magnifique là bas, tu verras... On se sent complètement envoûté une fois là bas..." Constance ferma les yeux, souriant, se remémorant les instants passés en Inde lors de son voyage.

Puis Constance rouvrit les yeux quand elle sentit la main de Paul dans ses cheveux. Elle lui sourit et répondit
"Tu as déjà eu droit à ma réaction face à une de leurs chansons. En direct live. Ici. J'adore U2. Meilleur groupe du monde ! Bono, meilleur chanteur du monde ! Et quel charme... Il a un truc qui m'hypnotise à chaque fois..." Constance regarda Paul attendrie, et ajouta "T'es pas jaloux j'espère !" et elle rigola doucement.

Quand elle se jeta sur lui et qu'il répondit à son baiser, Constance sentit monter en elle une vague de désir qu'elle ne pouvait réfréner.

"Mmmmm j'adore vraiment les desserts comme ça... Oui j'en veux un autre..." dit elle en embrassant Paul vers son oreille puis un peu plus bas.

Paul éclata de rire devant sa réaction sur sa proposition de vacances à deux au pasy du Taj Mahal.

"Quel enthousiasme!! Les vacances c'est dans longtemps chéri, respire. Surtout pour toi."

Lorsqu'elle vanta les mérites de Bono et ses qualités, il ne put que sourire, amusé:

"Aucunement jaloux: il est marié et fidèle à sa femme. Même si tu irais te pendre à son cou, il résisterait. Je sais pas comment mais il résisterait."

Ses yeux se voilèrent en sentant les lèvres de Constance près de son oreille et il sentit monter en lui à nouveau ce désir dont il ne pouvait lutter guère longtemps. Il se laissa emporté alors par cet océan de passion qui fit échouer le corps de Constance près du sien.

"Merci de remuer le couteau dans la plaie... Je sais que les vacances c'est pas pour bientôt..." Constance roula des yeux mais finit par sourire à Paul.

Lorsque leurs deux corps se rapprochèrent à nouveau, Constance se laissa emporter par le désir et la passion qui ne voulaient que reprendre le dessus d'elle.

(...)

Quand leur étreinte charnelle se termina, Constance se laissa tomber à côté de Paul, un peu fatiguée mais tellement bien. Elle regarda Paul avec un petit sourire et dit
"Ca doit ressembler à ça le paradis. Cette sensation de flotter et de nager dans le bonheur..."
Elle passa sa main sur le torse de son petit-ami et se blottit contre lui.

Paul rit doucement lorsque la jeune femme se blottit contre lui en murmurant que ça devait être ça le paradis. II lui caressa tendrement l'épaule de son pouce. Elle avait raison: si le paradis n'était pas ses bras, n'était pas ce sentiment de bien être et de perfection, alors il ne voulait jamais y aller.

"Si c'est ça le paradis, alors j'imagine que je suis Dieu, c'est ça?" plaisanta-t-il dans un murmure.

Il se laissa porté par ce sentiment de bien être et peu à pe, il l'envahit, l'emportant dans un pays de doux rêves tandis que son corps se reposait de la journée épuisante qu'il avait eu. Il s'endormit en pensant aux courses qu'il devait faire le lendemain. Avec un petit peu de hance, Constance l'accompagnerait, ce serait plus plaisant.

Constance, blotti contre Paul, commençait à s'endormir mais elle eut un petit rire quand Paul affirma qu'il devait être Dieu. Elle ne répondit cependant pas et s'endormit rapidement dans les bras de son bien-aimé, ne pensant à rien d'autre qu'à ce bonheur qu'elle avait trouvé.

Ce furent les rayons du soleil qui réveillèrent Paul des rêves plaisants qu'il faisait. Il s'étira lentement et observa durant de longues minutes la jeune femme dormant paisiblement dans ses bras. Il se détacha finalement d'elle et se rendit dans la salle de bain, prenant rapidement sa douche sans la réveiller. Revêtu d'un caleçon et d'un T-Shirt, il descendit ensuite les escaliers et commença à préparer un petit déjeuner de champion.

Constance se réveilla doucement, les rayons du soleil réchauffant sa peau. Elle s'étira et vit que Paul n'étais plus là.

Elle s'extirpa du lit et ramassa ses vêtements tout autour qu'elle revêtit. Elle se coiffa vulgairement et descendit à l'étage inférieur où elle retrouva Paul dans la cuisine.

Elle lui sourit en y entrant, en disant d'une voix rauque, la voix du matin.

"Bonjour toi..."

Elle s'approcha de lui et l'embrassa dans le cou avant de le serrer contre elle, posant sa tête sur son torse.

"Bien dormi ?" demanda-t-elle en constatant qu'il lui préparait encore une fois un petit déjeuner digne de ce nom.

Paul était en train de faire frire le bacon et cuire les oeufs lorsqu'il entendit Constance descendre les escaliers. Souriant à la pensée de la voir bientôt paraître dans la cuisine, il posa sa main libre sur celle de la jeune femme lui entourant la taille et tourna légèrement la tête pour l'embrasser sur la tempe.

"Bien, et toi?"

Il se sentait bien, complètement neuf et apaisé. C'était le matin et pour le moment, il n'y avait que Constance et lui, aucun autre souci ou facteur humain autour d'eux.

"C'est pas que je te trouve maigre mais tu n'as presque rien mangé hier soir..."

Constance huma la bonne odeur qui s'échappait de la poele et répondit

"Très bien, comme d'hab. Je sais pas si c'est ton lit qui est très confortable ou si c'est tes bras, mais ici je dors comme un bébé !" Constance tourna la tête pour regarder Paul et l'embrassa sur la bouche.

Rompant leur baiser, elle répondit à sa remarque

"Je n'avais pas faim hier, je sais pas pourquoi. Mais là, j'avoue que mon estomac crie famine !!! Je mange et je file chez moi pour me changer, comme j'ai ma voiture. On se retrouvera à l'hopital."

Sa main caressa le dos de Paul sous son tee shirt. Constance le trouvait diablement sexy en tee shirt et en caleçon. Elle n'arrivait pas à croire qu'il était à elle...

Paul rit doucement lorsque la jeune femme se demanda si c'était son lit qui était confortable ou ses bras. Finissant de frire le bacon, il secoua la tête et posa le tout dans une assiette en déclarant:

"Je dirai les deux. J'ai acheté le meilleur matelas qui soit et dormir dans mes bras est le rêve de toutes les femmes mais qui le cachent."

Il embrassa furtivement Constance mais frissonna en sentant sa main se balader sous son T-Shirt.

"Arrête, tu vas me donner des envies..."grommela-t-il.

Il échappa à sa main, même si son corps protesta et lui tira la chaise pour qu'elle s'installe à table.

"Madame est servie." lui sourit-il.